Nous avons vu que toute spiritualité a besoin de sécurité, de protection, d’ordre, de structure et d’organisation. Toute pratique spirituelle qui n’est pas encadrée est vouée à l’échec. En cause, des raisons internes au pratiquant, ses failles, par exemple un manque de rigueur dans la discipline, de justesse dans la pratique, d’intégrité ou d’expérience.
De plus, les forces extérieures opposées à cette pratique attaquent directement le pratiquant, ou indirectement, via les proches. Ces tests sont très éprouvants.
Le temps et l’énergie passés à combattre détournent du chemin de l’âme et maintiennent sous l’emprise d’implants de contrôle mental sans foi ni loi.
Combattre ne suffit pas. Qui dit Combat, qu’il soit ou non spirituel, dit impacts et blessures. Pour guérir, il faut élever sa fréquence, prendre du recul, faire le point, tirer les leçons des échecs ou des succès et poser des actes libérateurs.
Le gardien du seuil nous présente alors la culpabilité. Soit les autres les autres le sont, et le combat continue. Cela se traduit souvent par des ruptures relationnelles douloureuses. Soit nous nous retournons cette culpabilité vers nous-même et nous plongeons dans la dépression. Dans tous les cas, cette culpabilité est désastreuse.
Sur le plan énergétique, cette culpabilité augmente l’épaisseur et l’opacité de la couche karmique qui accumule toutes les émanations, les informations et les conséquences des actions de chacun. Et qui ensuite dégouline dans les couches mentales, émotionnelles, énergétiques et même physiques de l‘individu. Il s’ensuit toutes sortes de névroses, d’accidents, de maladies, de comportements déviants et destructeurs dont les conséquences s’accumulent dans la couche karmique.
Résultat, l’accès entre l’Âme et la personnalité incarnée peut se réduire au point d’être compromis. Ce qui permet dans certains cas à des entités prédatrices de prendre totalement le contrôle.
Nous avons vu que l’externe est le domaine de la pure conscience, de la prise de conscience de nos attitudes, de nos comportements et de leurs répercussions. Il est nécessaire de se responsabiliser et d’assumer.
Mais ne suffit pas de prendre conscience et de poser des actes pour changer les habitudes en profondeur. Les expériences s’accumulent dans des bulles mémorielles inconscientes et s’inscrivent dans nos mémoires cellulaires. Il y a plusieurs manières de dissoudre ces bulles.
En interne, c’est à dire au niveau corporel, des harmonisations énergétiques peuvent aider à ajuster nos systèmes et en particulier stimuler le système d’élimination.
En pratiquant le pardon, en formulant des décrets de libération des blessures et des syndromes de l'Âme, des engagements mal placés et des pièges de l'Âme, en vue d’activer les dons de l'Âme. Ces pratiques dépassent le cadre de cet article.
Je présente ici une méthode énergétique qui peut être utilisée pour la guérison et pour s’élever vers l’Âme. Voici un résumé de cette pratique.
Intensifiez la concentration sur le cœur du cœur de votre cœur relié à la Source. Polarisez la lumière avec l’Amour.
En inspirant, absorbez des particules de lumière authentique universelle et entourez-vous d’un soleil.
À l’expiration, contractez ce soleil pour en concentrer l’énergie dans une une perle incandescente.
Générez la sensation que cette étoile cœur rayonne en vous et autour de vous. Bien entendu, cette lumière incorpore les parts psychologiques et physiques qui ont été impactées.
Cette pratique permet l’auto-harmonisation et l’auto-guérison. Au-delà de cette étape de dépassement des conditionnements personnels, transgénérationnels et karmiques, l’individu connecté commence à revivre et à s’élever au niveau de l’Amour.
L’ouverture du centre cardiaque permet l’activation du vaisseau cœur plus connu sous le nom de dantian médian, ou en encore de merkaba. Cette merkaba permet de développer des différentes capacités psychiques qui permettent, entre autres, de voyager dans les mondes subtils et invisibles dont nous présenterons la structure plus en détail ultérieurement.
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